mercredi 13 mai 2009

LA GRANDE-BRETAGNE PREMIER PAYS À DONNER L'AVAL POUR LES EMBRYONS HOMME-ANIMAL... UTOPIE DEVENUE RÉALITÉ!!!

EMBRYONS HYBRIDES HOMME-ANIMAL :
Un feu vert pour quoi faire ?


En septembre 2007, la Grande-Bretagne devenait le premier pays au monde à autoriser la création d'embryons hybrides pour la recherche. Les premières applications devraient démarrer cet hiver. Reportage.

http://www.cite-sciences.fr/francais/ala_cite/science_actualites/sitesactu/magazine/article.php?id_mag=2&id_article=8543&lang=fr

Feu vert pour les « cybrides »

Créer des embryons humains à partir d'ovocytes d'animaux ? L'idée paraît folle, tout droit sortie d'un scénario de science-fiction. C'est pourtant ce que vient d'autoriser la très sérieuse agence britannique chargée d'encadrer les recherches sur l'embryon, la Human Fertilisation and Embryology Authority (HFEA).

La Grande-Bretagne devient ainsi le premier pays au monde à autoriser officiellement la création d'embryons hybrides homme-animal. Ou plus exactement la création d'embryons de quelques jours dont le patrimoine génétique est d'origine humaine mais dont l'enveloppe cellulaire est d'origine animale.

Ces embryons devront être détruits au plus tard le 14e jour après leur création et ne peuvent en aucun cas être introduits dans un utérus, précise la HFEA. Ainsi, si une nouvelle barrière éthique semble avoir été franchie, on est loin de la création d'êtres chimériques…

L'objectif de ces recherches ? Etudier et prélever les cellules souches embryonnaires, ces cellules immortelles capables de fabriquer toutes sortes de tissus. « Il ne s'agit pas d'un total feu vert pour les études sur les embryons hybrides, précise toutefois l'agence britannique, mais d'une reconnaissance que, dans certains cas bien précis, ces recherches peuvent être utiles et bénéfiques ».

En d'autres termes, c'est un feu vert de principe mais chaque laboratoire qui voudra réaliser ce que l'on appelle désormais des « cybrides » (pour hybrides cytoplasmiques) devra en faire la demande auprès de la HFEA.

Une décision attendue...

SOURCE ET SUITE DE L'ARTICLE SUR:
http://www.cite-sciences.fr/francais/ala_cite/science_actualites/sitesactu/magazine/article.php?id_mag=2&id_article=8543&lang=fr





samedi 9 mai 2009

DES RADICAUX ÉCOLOGISTES BAILLONNENT DES ÉLUES ...

Produits du phoque

EXCLUSIF: radio-canada.ca

Députés sous pression

Mise à jour le vendredi 8 mai 2009 à 15 h 03

Des députés européens soutiennent que le vote interdisant la vente des produits du phoque dans l'Union européenne a été manipulé. Le règlement a été adopté mardi par 550 voix contre 49, et 41 abstentions.

Ce vote est survenu seulement un mois avant les élections européennes. La députée de l'est de la France, Véronique Mathieu, a voté contre ce règlement. Elle soutient que si le vote avait eu lieu après les élections, le résultat aurait été tout autre.

« Bien entendu, il aurait été complètement différent. Le vote se serait passé déjà dans le calme. On aurait eu une pression de la part de certaines associations écolos extrémistes qui aurait été tout à fait différente. Nous avons été la proie de certaines ONG, tant par voie de mail, que par voie téléphonique. Nous avons été parfois menacés dans notre vote, et même au sein du Parlement, je dois le dire, certains ont voté sous la pression », affirme Véronique Mathieu.

Martin Callanan, député de la Grande-Bretagne, défend la chasse au phoque, mais lors du vote, il a opté pour l'abstention. Il explique que se mettre à dos les groupes de défense des animaux, c'est courir le risque de perdre des appuis électoraux.

Le vice-président du Parlement européen, le Français Gérard Onesta, a voté pour le règlement. Il dément les manoeuvres d'intimidation. « Je pourrais dire que je suis moi-même traumatisé par le lobby pro-chasse du phoque. Faut pas exagérer non plus », dit-il.

Plusieurs députés européens encouragent maintenant le Canada à porter sa cause devant l'Organisation mondiale du commerce.

Menace de part et d'autre

Des représentants canadiens de l'industrie de la chasse se sont rendus à Strasbourg, mardi dernier, pour assister au vote du parlement européen. Bernard Guimond était du nombre. Il dit que pendant qu'il était en Europe, sa famille, au Québec, a reçu des menaces.

« En fait, on a reçu des menaces à la maison dernièrement, immédiatement après le vote, et qui nous demandent d'arrêter la chasse au phoque et de prendre les moyens pour que ça cesse », affirme M. Guimond.

Les Guimond ont porté plainte à la GRC, qui mène une enquête. La police provinciale de Terre-Neuve a ouvert une enquête similaire.

Dion Dakins, un transformateur de fourrure de phoque à Terre-Neuve, dit qu'on le menace régulièrement de mort. Par exemple, il affirme qu'il a reçu un appel téléphonique en pleine nuit, le 14 avril dernier. Il explique que l'auteur de cet appel connaissait son adresse. M. Dakins ajoute que l'individu lui a dit qu'il recevrait de la visite, et qu'il serait traité comme un phoque pendant la chasse, à coups de gourdin, puis écorché.

La plupart des appels sont anonymes, à frais virés, effectués depuis des cabines téléphoniques situées au Québec ou en Ontario.

Le directeur du Fonds international pour la protection des animaux, Olivier Bonnet, dénonce les menaces. « Je suis tout à fait outré d'apprendre ça. Je pense que c'est tout à fait irresponsable, et ça ne va certainement pas régler le problème », dit-il.

Les groupes de défense des animaux disent qu'ils font eux aussi l'objet d'intimidation.


http://www.radio-canada.ca/audio-video/pop.shtml#urlMedia=http://www.radio-canada.ca/Medianet/2009/CBAF/0005177A_20090508_101235.asx&epr=true

SOURCE: http://www.radio-canada.ca/regions/atlantique/2009/05/08/001-ATL-votephoqueUE_n.shtml

mardi 5 mai 2009

Ce que nous pensons de la demande de privatisation d'internet

Il est évident qu'un seul pays ne peut avoir à lui seul un droit de regard sur un système devenu mondial. Néanmoins, c'est grâce à des fonds publics qu'Internet à été développé et l'oublier serait d'épouser sans sourciller la politique du ''choice public''. Si l'Union Européenne demande la privatisation totale d'Internet c'est simplement pour récupérer un outil technologique qu'elle n'a pas sû penser et dont le contrôle lui échappe.

Ce n'est sûrement pas pour le bénéfice du grand public. Effectivemment, il appiert que se profile un rapport de force de politique technologique qui refuse de se nommer mais dont les contours sous-jacent apparaîssent quant on se penche sur l'histoire de la fondation de l'Union Européenne.

L'union Européenne doit amoindrir le rôle mondial du continent américain. Tout en prônant la dilapidation de ce qui a été mis au point par les contribuables américains. Il est connu, depuis toujours, que les représentants politique de droite se dépêche de privatiser les secteurs publics dès qu'ils sont rentable.





Et vous comment analysez-vous ceci?

L'UNION EUROPÉENNE PRÔNE LA PRIVATISATION D'INTERNET

Contexte


Pendant de nombreuses années, l'Union européenne a joué un rôle de premier plan dans les débats internationaux sur la gouvernance de l'internet. La Commission européenne a, à plusieurs reprises, préconisé un système de gouvernance de l'internet confié entièrement au secteur privé sans ingérence des pouvoirs publics dans la gestion quotidienne de l'internet et milité en faveur d'un dialogue politique mulitlatéral ouvert en matière de gouvernance et de développement de l'internet. La Commission européenne participe aussi au Governmental Advisory Committee (comité consultatif gouvernemental) de l'ICANN, dont l'objectif premier est de conseiller ce dernier sur les questions de politique publique de ses activités de coordination.



EN EFFET:

  • Commission européenne: Demande de privatisation de l'ICANN

Dans une vidéo mise en ligne sur son site internet, Viviane Reding, membre de la Commission européenne chargée de la société de l'information et des médias, a demandé une transparence et une responsabilité accrues en matière de gouvernance de l'internet à partir d'octobre 2009. Les décisions clés dans ce domaine, telles que les domaines de haut niveau et la gestion du répertoire principal de l'internet, sont actuellement prises par l'ICANN (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers), une entreprise privée à but non lucratif établie en Californie. Jusqu'à présent, l'ICANN a exercé ses activités dans le cadre d'un accord conclu avec le ministère américain du commerce. Cet accord expire cependant le 30 septembre de cette année.

La commissaire Viviane Reding a esquissé aujourd'hui un nouveau modèle de gouvernance de l'internet pour la suite. Ce modèle prévoit la privatisation complète et la responsabilité pleine et entière de l'ICANN, assisté par un organe judiciaire indépendant, ainsi qu'un «G12 de la gouvernance de l'internet» – forum multilatéral au sein duquel les gouvernements pourront débattre des orientations générales en matière de gouvernance de l'internet et des questions de sûreté.


«Je suis convaincue que le président Obama aura le courage, la sagesse et le respect de la nature mondiale de l'internet pour ouvrir la voie dès septembre à une nouvelle forme de gouvernance de l'internet, plus responsable, plus transparente, plus démocratique et plus multilatérale,» a déclaré la commissaire européenne Viviane Reding dans sa vidéo mise en ligne ce matin. «C'est le moment d’agir. Et l'Europe est prête à soutenir les efforts du président Obama.»...



(LIRE LA SUITE SUR: http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=6580)
SOURCE: http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=6580